Des tentatives de cotation pour évaluer les difficultés d’escalade apparaissent dès le début du XXe siècle avec le développement de l’Alpinisme et la rédaction de topos. En 1925 l’alpiniste Allemand Willo Welzenbach introduit une échelle de six degrés de difficulté, le premier degré étant celui où apparaît la nécessité d’utiliser les mains, et le sixième la limite des possibilités humaines.
Après quelques adaptations, cette échelle est entérinée en 1935 par les autorités Alpines. Elle est appliquée de façon systématique dans les topos d’ascensions, notamment celui du guide Vallot sur le massif du Mont-Blanc édité en 1946. Cette même année, il est proposé d’ouvrir cette échelle au-delà du sixième degré, en rajoutant une lettre, 6a, 6b, 6c.
La fin des années 1970 voit l’apparition du septième degré. Il en sera de même la décennie suivante avec le huitième et neuvième degré. En France, le premier 7a a été réalisé en 1970, le premier 8a en 1983 et le premier 9a en 1991. En 2015, la cotation (confirmée) la plus difficile est 9b+.
Les cotations en rocher
Niveau maxi de difficultés actuelles
En falaise/école, c’est la voie « La Dura Dura » (Espagne) qui côte 9b+, longueur 50m.
En falaise/montagne, c’est la voie « Mescalito » (USA) qui comporte 32 longueurs pour 900 m d’escalade, dont 3 dans le neuvième degré.
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